jeudi 28 novembre 2013
CHEZ LE PERE NOEL EN LAPONIE LES RENNES PRENNENT DES FORCES
DEMAIN C EST LA SAINT SATURNIN ET SAMEDI LA SAINT ANDRE !
PENSÉE DU WEEK END
" Les gouvernements ne devraient pas intervenir
dans les domaines où l'individu peut se débrouiller seul !"
ABRAHAM LINCOLN
" Les gouvernements ne devraient pas intervenir
dans les domaines où l'individu peut se débrouiller seul !"
ABRAHAM LINCOLN
mercredi 27 novembre 2013
LE CHIFFRE DU SOIR
605 pages ouvertes à 19 h 30 ce soir...
Bienvenue aux lecteurs d' ARABIE SAOUDITE
Bienvenue également aux lecteurs de GUYANE FRANÇAISE
Qui nous ont rejoint ce soir!
686 pages ouvertes à 20 h 25 ce soir
l'article qui mène, ce soir, le score est le portrait de KAREN
Suivent les articles consacrés à
LES ABEILLES EN HIVER
LES MOTS QUI NOUS ENTOURENT ! DE LA LANGUE RÉGIONALE A NOS JOURS !
693 à 20 h 35 !
700 à 20 h 41 !
Bienvenue aux lecteurs d' ARABIE SAOUDITE
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Qui nous ont rejoint ce soir!
686 pages ouvertes à 20 h 25 ce soir
l'article qui mène, ce soir, le score est le portrait de KAREN
Suivent les articles consacrés à
LES ABEILLES EN HIVER
LES MOTS QUI NOUS ENTOURENT ! DE LA LANGUE RÉGIONALE A NOS JOURS !
693 à 20 h 35 !
700 à 20 h 41 !
LES NOMS QUI NOUS ENTOURENT ! DE LA LANGUE REGIONALE A NOS JOURS !
SE NOURRIR DES MOTS DU PASSE QUI NOUS ENTOURENT, COMPRENDRE NOTRE PATRIMOINE, ALLER A LA RACINE DE NOTRE LANGUE RÉGIONALE.
Denise et Anne-Marie de l'Association ""traditions et patrimoine borains" sont intervenues, à l'école publique mixte de LA PETITE PLANETE, dans la classe de Mme Crétier, professeur des Écoles, et de ses élèves de CM1, dans une très grande complicité, mais aussi connivence, afin d'aller à la source de ces mots qui nous entourent.
**************
C'est ainsi que les enfants de CM1 ont découvert les noms des lieux qui les entourent dans les villages, hameaux, mais aussi dans les montagnes, les rivières, la vallée, les sentiers. Tous, sont porteurs de sens, souvent dérivés du nom patois. Ils nous renseignent sur la nature du terroir, la faune et la flore locales, le climat, mais aussi sur la vie humaine passée, les us et coutumes locaux, parfois les légendes.
Anne-Marie et Denise membres de l'association" traditions et patrimoine borains", sont intervenues sur l'invitation de Mme Crétier, professeur des Écoles à Petite Planète, afin d'éveiller la curiosité des élèves autour des noms, des lieux locaux.
Les regards des enfants étaient avides de toucher le réel, d'entendre ces mots sur des lieux qu'ils habitent parfois, mais aussi de comprendre la mutation, la traduction du langage régional, que dans les chaumières on appelle "le patois d'ici !"
*************
" Le biollay" ? c'est un lieu planté de bouleau
Le Clapey ? révèle un amas de pierres
Le Thuriat ? C'est la montagne qui fume ( racine de turire = fumée) car la neige y vole.
Le Roignaix ? Est la montagne "boudeuse" du patois " rogneu" car elle arrête les nuages
La forêt de Nosanda ? C'est un dérivé de nauséabond. C'est un lieu ou étaient relégués les Lépreux au moyen âge.
Les moulins ? Là était broyé et moulu le blé, le seigle grâce à la puissance de l'eau du torrent.
Le mollard ? Mot latin qui signifie talus, coteau
La Gurraz ? Gura = couloir étroit, profond - gorge de torrent
Séez ? Sextus lapidus ( 6éme borne sur la voie romaine )
Le creux des morts ? Lieu ou les avalanches accumulent les morts
**********
Anne Marie a souligné l'importance de redonner aux lieux le nom en patois. Sa traduction donnant une indication précise. Ainsi aux Arcs la "ruelle des rubans" est en réalité la ruelle des rebanes" c'est à dire des replats successifs .
Merci à Mme Crétier, qui a compris l'importance de sensibiliser les enfants au sens du mot patrimoine....
ce mot hérité de ce qui nous vient des pères et mères d'antan !
Au delà de cette première approche de la" microtoponymie" cette classe participera, au printemps prochain, au concours Constantin Désormaux, organisé en concertation avec l’Éducation Nationale avec , cette année, un travail autour du thème :
" nos communes, leurs caractéristiques et leurs produits typiques"
Une occasion de solliciter à nouveau le groupe de patois, franco-provençal, pour une nouvelle collaboration sinon un passage du témoin du passé qui nous propulse dans l'avenir, sur ce socle indéfectible qu'est le patrimoine.
Pierre VILLENEUVE
( propos recueillis auprès d'Anne-Marie BIMET et Denise PEZET, membres de l'association " Traditions et patrimoine borains "
Denise et Anne-Marie de l'Association ""traditions et patrimoine borains" sont intervenues, à l'école publique mixte de LA PETITE PLANETE, dans la classe de Mme Crétier, professeur des Écoles, et de ses élèves de CM1, dans une très grande complicité, mais aussi connivence, afin d'aller à la source de ces mots qui nous entourent.
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C'est ainsi que les enfants de CM1 ont découvert les noms des lieux qui les entourent dans les villages, hameaux, mais aussi dans les montagnes, les rivières, la vallée, les sentiers. Tous, sont porteurs de sens, souvent dérivés du nom patois. Ils nous renseignent sur la nature du terroir, la faune et la flore locales, le climat, mais aussi sur la vie humaine passée, les us et coutumes locaux, parfois les légendes.
Anne-Marie et Denise membres de l'association" traditions et patrimoine borains", sont intervenues sur l'invitation de Mme Crétier, professeur des Écoles à Petite Planète, afin d'éveiller la curiosité des élèves autour des noms, des lieux locaux.
Les regards des enfants étaient avides de toucher le réel, d'entendre ces mots sur des lieux qu'ils habitent parfois, mais aussi de comprendre la mutation, la traduction du langage régional, que dans les chaumières on appelle "le patois d'ici !"
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" Le biollay" ? c'est un lieu planté de bouleau
Le Clapey ? révèle un amas de pierres
Le Thuriat ? C'est la montagne qui fume ( racine de turire = fumée) car la neige y vole.
Le Roignaix ? Est la montagne "boudeuse" du patois " rogneu" car elle arrête les nuages
La forêt de Nosanda ? C'est un dérivé de nauséabond. C'est un lieu ou étaient relégués les Lépreux au moyen âge.
Les moulins ? Là était broyé et moulu le blé, le seigle grâce à la puissance de l'eau du torrent.
Le mollard ? Mot latin qui signifie talus, coteau
La Gurraz ? Gura = couloir étroit, profond - gorge de torrent
Séez ? Sextus lapidus ( 6éme borne sur la voie romaine )
Le creux des morts ? Lieu ou les avalanches accumulent les morts
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Anne Marie a souligné l'importance de redonner aux lieux le nom en patois. Sa traduction donnant une indication précise. Ainsi aux Arcs la "ruelle des rubans" est en réalité la ruelle des rebanes" c'est à dire des replats successifs .
Merci à Mme Crétier, qui a compris l'importance de sensibiliser les enfants au sens du mot patrimoine....
ce mot hérité de ce qui nous vient des pères et mères d'antan !
Au delà de cette première approche de la" microtoponymie" cette classe participera, au printemps prochain, au concours Constantin Désormaux, organisé en concertation avec l’Éducation Nationale avec , cette année, un travail autour du thème :
" nos communes, leurs caractéristiques et leurs produits typiques"
Une occasion de solliciter à nouveau le groupe de patois, franco-provençal, pour une nouvelle collaboration sinon un passage du témoin du passé qui nous propulse dans l'avenir, sur ce socle indéfectible qu'est le patrimoine.
( propos recueillis auprès d'Anne-Marie BIMET et Denise PEZET, membres de l'association " Traditions et patrimoine borains "
LES ABEILLES DE L' HIVER
Jean-Pierre !
Où vont elles les abeilles en hiver ?
La vallée des Veys venait de se refermer quelque part. Les couleurs automnales envahissaient à l'envi, ces pleins et déliés de ce temple de la nature resté intact. Le vent commençait à devenir plus frais en ce 20 aout !
Les 12 ruches n'étaient plus entourées des arabesques au parfum des miels d'altitude, les abeilles semblaient comme engourdies, sortaient de moins en moins, le miel devenait rare, le temps de fermer les trappes était venu.
Ainsi le soir venu, Jean-Pierre, attendra patiemment que les 72.000 abeilles , regroupées autour des 12 reines, soient rentrées " et vers minuit j'ai fermé les trappes d'entrée !"
Au petit matin, Jean-Pierre a chargé ses 12 ruches et 2 heures après, il installait cette bien belle colonie, sur les hauts de la rue de La Bourgeat, là ou Rosine pouvait regarder, une fois de plus, une fois encore, les dernières envolées. " Avec le temps frais elles sortent moins !" dira t elle.
" Les ruches doivent être bien mises en place et définitivement. Dés que les trappes ont été rouvertes, il ne faut pas déplacer les ruches, sinon les abeilles seront désorientées... à chacune sa ruche !"
Le temps de Toussaint est le moment de laisser les trappes ouvertes, de réguler la ventilation et d'enlever prés de la moitié des cadres, de les resserrer, de les confiner dans la ruche , de poser la séparation, de garnir le vide ainsi créé par du papier journal qui sert ici d'isolant, de s'assurer de la présence du "couvain" dans les cadres et de déposer, au centre de la ruche, du sirop sucrée dans un nourrisseur. tous les 15 jours il faudra alimenter ces nourriciers afin que les abeilles, et la Reine, s'alimentent." En effet la reine de chaque ruche va donner naissance, lors de ses dernières pontes en fin de saison !"
Dans ces instants fébriles la dernière stratégie employée par les abeilles, pour mieux passer l'hiver peut nous sembler cruelle.
"Surtout à nous les hommes !" Les abeilles appelées ouvrières chargées de la discipline, de l'ordre et de la méthode estiment que les mâles, ces faux bourdons, ont rempli leur rôle en fécondant la Reine pendant l'été et donc ne seront d'aucune utilité l'hiver durant...pas de bouches inutiles à nourrir en hiver dans la ruche ! Elles ont dû dire : " Messieurs, il est temps de disparaître !" et d'accomplir le dernier de la mort certaine !
Les abeilles n'hibernent pas ! Elles hivernent !
Si les abeilles qui butinent ont une durée de vie de 45 à 60 jours, les abeilles de l'hiver vivront 150 à 200 jours. Elles sont chargées de préparer le passage de l'hiver et organisent la survie du groupe dont et surtout la Reine, qui elle, vivra environ 4 à 5 ans .
" Les abeilles se mettent en formation comme une boule avec la Reine au milieu. Par des vibrations lentes des ailes, elles conservent et maintiennent une température nécessaire dans la ruche. Si le temps est moins froid, cette boule composée des abeilles se détend, se dilate, dés que le froid revient la boule se resserre." Les abeilles craignent l'humidité, la mortalité est plus importante ! " Jean-Pierre gardera tout l'hiver une bien belle vigilance à ses " ruches bleues". Le Bloc de Candy a été posé ( sucre en bloc), le nourricier a été enlevé, la laine de roche a été posée sous le toit de la ruche..La neige commençait à tomber !
" La neige ne doit pas obturer la trappe d'entrée, c'est pour cela que j'ai construit mes ruches avec un auvent...!"
L'hiver est annoncé, un coup d'œil sur le calendrier et fin mars , début avril, aux premiers chauds rayons de soleil, les abeilles, chargées du ménage, prépareront la sortie des premières butineuses. Déjà les images de la vallée des Veys s'incrustent dans la mémoire pour remonter, à l'alpage, au pays des mille fleurs des Alpes...et ses 12 ruches évidemment accompliront cette montée, quelque part céleste, sous les soleils de l'Eté !
Une bien belle complicité de l'Homme et de l'abeille !
Pierre VILLENEUVE
Où vont elles les abeilles en hiver ?
La vallée des Veys venait de se refermer quelque part. Les couleurs automnales envahissaient à l'envi, ces pleins et déliés de ce temple de la nature resté intact. Le vent commençait à devenir plus frais en ce 20 aout !
Les 12 ruches n'étaient plus entourées des arabesques au parfum des miels d'altitude, les abeilles semblaient comme engourdies, sortaient de moins en moins, le miel devenait rare, le temps de fermer les trappes était venu.
Ainsi le soir venu, Jean-Pierre, attendra patiemment que les 72.000 abeilles , regroupées autour des 12 reines, soient rentrées " et vers minuit j'ai fermé les trappes d'entrée !"
Au petit matin, Jean-Pierre a chargé ses 12 ruches et 2 heures après, il installait cette bien belle colonie, sur les hauts de la rue de La Bourgeat, là ou Rosine pouvait regarder, une fois de plus, une fois encore, les dernières envolées. " Avec le temps frais elles sortent moins !" dira t elle.
" Les ruches doivent être bien mises en place et définitivement. Dés que les trappes ont été rouvertes, il ne faut pas déplacer les ruches, sinon les abeilles seront désorientées... à chacune sa ruche !"
Le temps de Toussaint est le moment de laisser les trappes ouvertes, de réguler la ventilation et d'enlever prés de la moitié des cadres, de les resserrer, de les confiner dans la ruche , de poser la séparation, de garnir le vide ainsi créé par du papier journal qui sert ici d'isolant, de s'assurer de la présence du "couvain" dans les cadres et de déposer, au centre de la ruche, du sirop sucrée dans un nourrisseur. tous les 15 jours il faudra alimenter ces nourriciers afin que les abeilles, et la Reine, s'alimentent." En effet la reine de chaque ruche va donner naissance, lors de ses dernières pontes en fin de saison !"
Dans ces instants fébriles la dernière stratégie employée par les abeilles, pour mieux passer l'hiver peut nous sembler cruelle.
"Surtout à nous les hommes !" Les abeilles appelées ouvrières chargées de la discipline, de l'ordre et de la méthode estiment que les mâles, ces faux bourdons, ont rempli leur rôle en fécondant la Reine pendant l'été et donc ne seront d'aucune utilité l'hiver durant...pas de bouches inutiles à nourrir en hiver dans la ruche ! Elles ont dû dire : " Messieurs, il est temps de disparaître !" et d'accomplir le dernier de la mort certaine !
Les abeilles n'hibernent pas ! Elles hivernent !
Si les abeilles qui butinent ont une durée de vie de 45 à 60 jours, les abeilles de l'hiver vivront 150 à 200 jours. Elles sont chargées de préparer le passage de l'hiver et organisent la survie du groupe dont et surtout la Reine, qui elle, vivra environ 4 à 5 ans .
" Les abeilles se mettent en formation comme une boule avec la Reine au milieu. Par des vibrations lentes des ailes, elles conservent et maintiennent une température nécessaire dans la ruche. Si le temps est moins froid, cette boule composée des abeilles se détend, se dilate, dés que le froid revient la boule se resserre." Les abeilles craignent l'humidité, la mortalité est plus importante ! " Jean-Pierre gardera tout l'hiver une bien belle vigilance à ses " ruches bleues". Le Bloc de Candy a été posé ( sucre en bloc), le nourricier a été enlevé, la laine de roche a été posée sous le toit de la ruche..La neige commençait à tomber !
" La neige ne doit pas obturer la trappe d'entrée, c'est pour cela que j'ai construit mes ruches avec un auvent...!"
L'hiver est annoncé, un coup d'œil sur le calendrier et fin mars , début avril, aux premiers chauds rayons de soleil, les abeilles, chargées du ménage, prépareront la sortie des premières butineuses. Déjà les images de la vallée des Veys s'incrustent dans la mémoire pour remonter, à l'alpage, au pays des mille fleurs des Alpes...et ses 12 ruches évidemment accompliront cette montée, quelque part céleste, sous les soleils de l'Eté !
Une bien belle complicité de l'Homme et de l'abeille !
Pierre VILLENEUVE
LES ABEILLES EN HIVER
BANDE ANNONCE
Vous allez découvrir dans quelques instants l'histoire
" LES ABEILLES EN HIVER"
et la passion des abeilles de Jean-Pierre.
Vous allez découvrir dans quelques instants l'histoire
" LES ABEILLES EN HIVER"
et la passion des abeilles de Jean-Pierre.
MAIS D 'OU SONT ILS CES HEUREUX HABITANTS. FRANCAIS.
Cadurciens
Appaméens
Chauriens
Carolomacériens
Castelthéodoriciens
Croquants
Elusates
Cherchez donc la ville qu'ils habitent !
Appaméens
Chauriens
Carolomacériens
Castelthéodoriciens
Croquants
Elusates
Cherchez donc la ville qu'ils habitent !
mardi 26 novembre 2013
LA PRIERE DU CHIEN .
Après parution de la prière du chien en langue régionale, voici le texte traduit en français, par Anne-Marie BIMET
LES ANIMAUX - REPONSE
L'aigle : trompette
L’alouette : grisolle
La baleine : chante
Le bélier : bêle
La biche : brame
Le bouc : chevrote, béguète
La brebis : bêle
Le buffle : beugle, mugit
La caille : cacabe
Le canard : cancane
à la prochaine .......
L’alouette : grisolle
La baleine : chante
Le bélier : bêle
La biche : brame
Le bouc : chevrote, béguète
La brebis : bêle
Le buffle : beugle, mugit
La caille : cacabe
Le canard : cancane
à la prochaine .......
DEMAIN 28 NOVEMBRE, C'EST LA SAINT JACQUES
PENSEE DU JOUR
" La politique est l'art l'empêcher les gens de se mêler de ce qui les regarde !"
PAUL VALERY
" La politique est l'art l'empêcher les gens de se mêler de ce qui les regarde !"
PAUL VALERY
LE CHIFFRE DU JOUR
960
Hier mardi 26 novembre 2013, 960 pages ont été ouvertes !
Plein succès pour les sujets concernant le HTAC !
Hier mardi 26 novembre 2013, 960 pages ont été ouvertes !
Plein succès pour les sujets concernant le HTAC !
LA PASSION DE PORTER LES COULEURS DU H.T.A.C.
LA PASSION DE PORTER LES COULEURS DU :
" HAUTE TARENTAISE ATHLÉTISME CLUB "
En créant cette bien belle discipline sportive, Mahdi AMIMOUR, qui assure la Présidence du HTAC, il a fallu créer un terrain favorable afin de drainer, d'entrainer dans les sillons de l'abnégation, de l'endurance, du plaisir d'aller à la rencontre de soi même, d'apprendre à se connaître, de déceler ses forces, ses faiblesses, ses marges de manœuvre, son tableau de progression.
L'Athlétisme n'est pas en elle qu' une discipline, elle rassemble ces ateliers du lancer, du saut, de la vitesse , de l'endurance, des relais. L'alchimie demeure entre lutter avec soi même, et élever très haut l'esprit d'équipe..Oui l'athlétisme est un paradoxe .. Certes, mais un bonheur à atteindre !
Ici inutile de tricher ! Ici impossible de faire semblant ! le décamètre parle ! le Chrono est intraitable ! Le souffle du vent reste le métronome ! Chacune, chacun doit se plier à cette rigueur... Vous avez dit rigueur ? Oui en fait comme dans la vie de tous les jours !
Ainsi l'HTAC a décidé de hisser la voile au zénith de la performance..autrement !
Deux mois de préparation ont été le socle afin de retrouver son corps, son esprit, dans des défis de ce couple indéfectible " le souffle et le rythme cardiaque! "
Le 17 novembre au cross national Bayard à Poncharra, le temps était venu de s'étalonner. Lire dans son effort et dans sa récupération sa progression et ainsi faire le point sur le travail des entrainements de début de saison.
Allez donc à la rencontre de ces jeunes en herbe, un doux euphémisme, qui courent par vents et marais, par pluie, par sentiers boueux, par peu d'installation. L'essentiel est dans le maillot, la passion est dans ce combat contre soi même " le corps à besoin d'exulter. L'énergie sale doit couler le long des regards, la victoire n'en est que plus belle, plus personnelle, plus intime !"
Pierre VILLENEUVE
AH ! CETTE LANGUE FRANCAISE
ANIMAUX
Si l'âne brait, le cheval hennit, le chat miaule, le chien aboie, mais les autres ?
_ L'aigle
_ L'alouette
_La baleine
_Le bélier
_La biche
_Le bouc
_La brebis
_Le buffle
_La caille
_Le canard
réponses demain !
Si l'âne brait, le cheval hennit, le chat miaule, le chien aboie, mais les autres ?
_ L'aigle
_ L'alouette
_La baleine
_Le bélier
_La biche
_Le bouc
_La brebis
_Le buffle
_La caille
_Le canard
réponses demain !
BIENVENUE SUR NOTRE BLOG
Bienvenue à un nouveau lecteur de notre blog en provenance du LIBAN, qui vient de nous rejoindre ce jour !
QUAND LA CONDUITE D' UNE DAMEUSE S ECRIT AU FEMININ !
BOURG SAINT MAURICE
Faisant suite à notre article concernant le portrait de Karen Gilliot, et devant les nombreuses demandes de nos lecteurs, voici Karen Gilliot, en pleine action sur les domaines skiables des Arcs, d'Australie et des États Unis.
Il fallait bien que les lecteurs puissent voir la dextérité de KAREN, qui sans aucun conteste mène la dameuse...du bout des doigts !
Bravo KAREN et bonne trace !
Pierre VILLENEUVE