LUCIE : J'aurais voulu être une artiste !
Lucie était assurément impatiente de "vider son sac". Cette rubrique que nous avons mise en place afin de découvrir, plus encore faire découvrir, ces jeunes qui nous donnent bien sur l'envie d'avoir envie de donner la parole à cette jeunesse qui construit le socle de notre avenir.
"Vider son sac " est une bien belle occasion de découvrir Lucie. "Quand je prépare mon sac, je commence par mon short, mon maillot, mon n°8, mon tee shirt noir avec imprimé au dos, " LULU" mes chaussures , mes chaussettes !" Ah oui j'oubliais, je choisis mes trois chouchous, avec mon préféré couleur violet !
Dés que mon sac est prêt " merci maman ! "je vérifie avoir emporté mon Ipode et mon portable ! Quand je rentre le soir... " merci maman !"... maman s'occupe de tout, lavage, repassage, pliage....Lucie nous propose un silence...comme pour dire... " quel bonheur d'avoir une maman !"
Mais Lucie revient vite sur le jeu, le Basket, l'ambiance, l'esprit d'équipe, sa détermination à être en condition physique. Elle ne transige pas avec cet esprit de corps. Mais très vite Lucie se découvre au haut de ses 13 ans ! Besoin d'unir, envie de lier, elle a, en elle, une énergie étonnante et prend pour elle cette formule" une journée sans rire est une journée perdue !" avec Lucie vous êtes sur d'engranger des fou-rires à volo !
Elle ne supporte pas la mélancolie, elle est un véritable lien afin que l'équipe soit un corps, une âme, un esprit.
Ainsi heureuse d'avoir donné, distribué du bonheur elle retrouve au retour d'un d'entrainement, d'un match sa maman Véronique, son papa Pédro-Paulo, ses frères Louis et Simon... pour parler ?...Basket tout en savourant un choupa choup !
Merci Lucie de votre franchise, de votre bonne humeur de nous avoir fait rire,. Que c'est bon de voir des jeunes filles épanouies, ballon de basket en main ! Mais il y avait tout dans son regard, il suffisait de lire et de se servir à l'aune de sa joie de vivre !
Élève en classe de 4éme à Saint-Exupéry, elle a en elle quelque chose de vert et gris, elle possède dans ses gênes un air de fête... n'aurait elle pas, en elle quelque chose de brésilien ?
Pierre VILLENEUVE