Etre Bérardais : Une maladie d’amour.
Marie-Rose et Michel |
La météo n’a eu aucune prise
sur les 42 convives qui ont siégé sous le chapiteau et de fêter avec ferveur la
sempiternelle réunion de familles qui rassemble les membres de l’association
« La berdeil » ayant comme but ultime de garder une certaine
fraternité, une amitié indéfectible, un besoin un jour donné de réaliser un
arrêt sur image et à chacun de suspendre le temps afin de ne se consacrer qu’à
l’autre. Un bien bel exemple d’une communauté de vie enviée par bien des
villages et hameaux de tous les versants.
C’est
autour de Jean Louis et Chantal, mais aussi des membres de l’association que
les 62 invités se sont retrouvés autour d’un pot d’accueil.
Jean
Louis esquissait l’année qui vient de se dérouler en saluant les jeunes nouveaux
arrivants Régine, Enéa, Mathieu, Patrice et Paul.
On n’habite pas au Bérard par hasard.
Michel
et Marie Rose, hôtes de ces lieux, qui venaient de fêter leurs 60 ans de
mariage, étaient impatient de nous servir, mais aussi ces petites mains qui
nous ont permis de savourer un menu de très haute tenue. Qu’ils soient de
Londres sinon de Bagnols sur Céze, les rires, les histoires, les nouvelles,
l’appel à la cotisation, ce village est un véritable phare que l’on aperçoit au
détour de cette fabuleuse route qui mène au Bérard, rythmé par la présence de
ce sacré René, maintenant retraité prés de son étable …désormais sans tarines,
mémoire du village…mais véritable chaman…chef de chœur de cette belle envolée
!
Pierre
Villeneuve
Mathieu, Paul, Enea, Régine et Patrice |
Robin, Coline et Louis |