DANS LA SÉRIE « LES INCIVILITÉS » LE TEMPS DE SE POSER DES QUESTIONS EST VENU !
Au gré des dépôts sauvages, non adaptés, encombrants, puants, incontrôlés, les lieux choisis afin de proposer des containers font l’objet d’indélicatesse, par celles et ceux qui ne veulent pas ? Ne peuvent pas ? Ignorent ? L’existence des déchetteries existantes sur le territoire de la Haute-Tarentaise.
Le temps des containers serait il révolu ?
L’interpénétration du grand carrefour des stations qu’est la capitale de la Haute-Tarentaise, par des publics divers et diversifiés, les différents modes de traitement des encombrants en fonction des phénomènes de cultures ? Le manque d’informations ? La méconnaissance du comportement du traitement des déchets ? Le manque d’amplitude de l’ouverture des déchetteries ? L’absence de plage horaires en continu de l’ouverture à la fermeture de ces déchetteries ? Les heures d’ouverture et de fermeture ? La possibilité d’élargir les jours d’accès aux déchetteries y compris le dimanche matin ?
La Ville est elle sous contrôle ?
Où sont les carmeras de surveillance ?
A l’entrée de l ‘agglomération boraine figure un indice précisant, au droit de la dénomination de l’agglomération, que la ville est sous surveillance par caméras interposées. En effet il suffit de lever la tête et de repérer les yeux de la police municipale. Peut-on donc examiner ces dépôts sauvages et identifier ces gestes ne respectant la tri sélectif et l’environnement ?
En fait il faudra que les contribuables mettent la main à la poche pour faire enlever ces détritus déposés aujourd’hui prés de la chapelle de la Trinité, mais aussi souvent et fréquemment sur l’ensemble du territoire de Haute-Tarentaise. Le Président de la communauté de communes de Haute-Tarentaise devra, devrait proposer des mesures radicales afin que cessent ces dépôts sauvages.
Pierre VILLENEUVE