vendredi 18 octobre 2019

SEMAINE BLEUE - SAVIEZ VOUS QUE DENISE PEZET EST UNE ADEPTE DU TWISTERRE ?

SEMAINE BLEUE  -  SAVEZ VOUS QUE Denise Pezet est une TWISTERRE ?
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C’est assurément dans une présence intergénérationnelle qui lui convient,
que Denise Pezet,  vient d’animer, avec ses mots simples, justes et d’une pédagogie hors du commun,ces grands défis sur la planète. Les enfants de l’École sainte Bernadette et en présence de quelques pensionnaires de « la Roselière » ont pu se projeter dans l’espace de la terre, qui parfois, souvent, ne tourne plus rond.
En déposant le grand drap  des objectifs à atteindre en matière environnementale, il fallait permettre aux enfants d’assimiler l’exploitation de la matière première, des produits manufacturés, des zones géographiques dans ce monde des multinationales gérant ces filières.  S’accaparer les ressources, introduire la notion d’investissements vertueux, le vert est il dans le fruit ?
                                         Le plateau de Jeu du Twisterre
"Il fallait prendre conscience que notre confort, nos exigences en matière de superflus se font souvent au détriment de certaines productions ! » déclarera Denise. Les enfants avaient les yeux collés sur les mots de Denise qui savait comment pénétrer, susciter, éveiller ces enfants qu’elle connait sur le bout de son cœur. Ainsi va se raconter la fabuleuse histoire de la terre entre les zones du globe dépouillées de leurs richesses naturelles, les forêts vont être l’objet d’une bien belle rencontre, ces poumons de la terre, Denise va attirer l’attention sur le déplacement des populations, des tribus, elle va mettre le doigt sur le comportement de ces multinationales qui n’hésitent pas à exploiter la main d’œuvre, parfois faire travailler les enfants. Pollution, transport, consommation incontrôlée, cette rencontre autour de ce drap de la vérité a été un moment fort de cette semaine bleu.

A l’heure de « la récréation » quelques mots franco-provençal ont été échangés entre les anciens de la Roselière et Denise qui ne boudait son plaisir de faire perdurer cette bien belle langue locale qui ne doit pas s’éteindre.
Pierre VILLENEUVE