MANUE ET CYRIL SE SONT UNIS PAR CE LIEN DU MARIAGE FAIT D’AMOUR DE PASSION ET DE RESPECT L’UN POUR L’AUTRE
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En ce 1° juillet de l’An 2017, La fête était trop belle pour ne pas donner sa vraie place à l’hymen de Manue et de Cyril. Le soleil était juste derrière les nuages, la robe blanche n’avait que des gouttes de bonheur accrochées à son tulle. Cyril n’avait d’yeux que pour celle qui désormais allait parcourir ces parois de la vie. Les rouleaux grondaient vers les Veys, mais là haut quelqu’un retenait les vannes, même si cette cérémonie s’est déroulée entre rires et larmes.
Quand le mot famille s’écrit à l’encre du rimmel
Ainsi Eric Minoret, conseiller municipal, délégué afin de célébrer ce mariage en sa qualité d’ officier de l’État Civil, nous a toutes et tous surpris par la qualité de ses mots d’accueil. Eric a le sens du vrai, du sincère. Il donnera un parcours « sportif » de Manue et de Cyril, avec cette délicatesse innée chez lui de savoir dire et de savoir être.
Cette journée va se dérouler sur un rythme,certes, joyeux. Mais.. Car il y a un Mais ! le mot famille est venu entourer ce grand cercle. Colette et René, Jocelyne et Jean Pierre se sont unis eux aussi sur les liens de ce mariage, telle une cordée ! La carapace s’est installée, la connivence a été de mise, ces enfants de l’amour devenaient les porte-drapeaux du bonheur, comme une transmission de ces valeurs empruntées au mot famille.
La fête a été belle puisque…les copains d’abord !
A l’heure des anneaux , et de ce mélange dans la vasque des promesses du rouge et du blanc des mains, des doigts, des désirs, des envies de Manue et Cyril, les mots sont venus rappeler, lisser, surprendre, émouvoir, essuyer des larmes, déclencher des fou-rires…L’essentiel était dans la puissance des besoins de dire, de sanctuariser ces instants d’une enfance à portée d’émotion.
Les bulles pouvaient lâcher des bouchons, les joues pouvaient s’essuyer, les toasts pouvaient apaiser les faims de se rencontrer, Manue et Cyril allaient emprunter ce chemin de vie avec mille cœurs à l’unisson. Les lampions allaient briller sur la table des invités et de rejoindre, dans la nuit, le domaine des étoiles.
Pierre VILLENEUVE