SAINTE FOY TARENTAISE - DES NOCES D'OR DIGNEMENT FÊTEES !

Lucette, René, Léa, Roger, Lucie, Jean-Claude, Henri, Jeanine

                                      C’EST BEAU LA VIE A 200 ANS !
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Si fêter 200 ans de mariage n’existe que dans les rêves, la réalité est évidemment toute autre. C’est tout simplement l’histoire de trois frères et une sœur de la famille santéféraine bien connue – Anselme – Martin – qui ont convolé en noces tous ensemble  en 1968 et qui, en ce 9 juin, de l’An 2018 ont célébré leurs Noces d’Or.
    Une vie d’une famille unie de Francis et Lina et de leurs 7 enfants

René, doyen d'âge tient sur ses genoux son petit fils Mathis, le plus jeune

Après Marcel qui a épousé Luce, Odile qui a épousé Paul, Lydie qui a épousé Rémi,  c’est durant le millésime 1968 que 4 enfants au «  Villard » se sont mariés…. Henri qui semble le plus entreprenant et dés le 13 janvier 1968 épouse Jeanine. René rencontre Lucette et les voila tous les deux de s’unir par les liens du mariage le 6 juillet 1968. Roger n’y tient plus, il prend la main de Léa et se présentent devant le Maire le 31 aout 1968. Que diable Lucie en fait de même et épousera Jean-Claude le 9 novembre 1968. En  fait en peu de temps les parents Francis et Lina ont vu     avec bonheur leurs enfants quitter la ferme familiale.
C’est ainsi qu’ont été fêtées les 4 NOCES d’ OR le 9 juin 2018
    Soit 4 fois 50 ans de mariage !
Face à ce grand vide émotionnel pour Francis et Lina, chacune et chacun se sont mis à tricoter des layettes. Au gré des désirs et fort de cette famille nombreuse 9 enfants sont nés, 19 petits enfants assurent la relève…
Mais alors à quand le premier arrière petit enfant ? Mais pour l’instant…chut !
Ainsi sur les terres de Sainte Foy Tarentaise toutes ces familles se sont retrouvées, connues. En, effet certains ne s’étaient jamais rencontrés, d’autres s’étaient éloignés. Un moment fort à l’heure de cette découverte. Ainsi va se raconter la fabuleuse histoire de ce merveilleux arbre généalogique qui va s’écrire grâce à la mémoire de tous, au fil des conversations autour d’une table bien garnie et prés de ce gâteau d’anniversaire créé sous le signe d’une roue de Beaufort.
                                  Des airs d’accordéon … sinon rien !
Les tables pouvaient être poussées, les verres pouvaient être remplis, le piano à bretelles pouvait entamer une bien belle variation de danse ancienne et de musique plus moderne. Julien pouvait jouer  avec son accordéon ainsi que son beau frère. Le bonheur était dans les regards entre deux valses, un tango ou une mazurka, les enfants jouaient dans des rondes effrénées. La famille  Anselme – Martin venait de nous montrer cette émotion perceptible et cette joie d’être ensemble, il nous a suffit de lire dans les rimmels !
 Pierre VILLENEUVE