LA RECONVERSION DU CENTRE RENOUVEAU ?
UN
TROP GROS POISSON A AVALER EU ÉGARD AUX ARÊTES INDIGESTES !
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- De nombreuses personnes s’étaient ainsi rassemblées afin de créer ce corps compact et solidaire face à une fin de non recevoir du maire de la commune de Bourg saint Maurice, refusant, souvent avec des mots très durs, de rencontrer la soixantaine de femmes et d’hommes, inquiets de cette désinvolture qui n’a que pour interprétation « on ne veut pas nous dire..on veut nous cacher.. »
LE CENTRE RENOUVEAU …UNE CENTRE URBAIN
DE HAUT NIVEAU ?
En
effet les versions vont bon train face
au refus de recevoir celles et ceux qui
ont un droit de l’usager, un droit de démocratie participative. La Loi y suffit
pour dire, édicter et obliger.
Une
heure durant chacune et chacun a pu s’exprimer. Les questions étaient
pertinentes, de terrain, d’environnement. La qualité de vie a un prix que
chacune et chacun sont en droit d’exiger. Alors l’assemblée était unanime quant
à ce que des constructions soient élaborées pour ces ménages, ces jeunes, ces
anciens afin que chacun construise ce nid prés du lieu de travail. « D’où
la nécessité de suivre les réunions publiques de programmation ! »
dira une intervenante éclairée. La capitale de la Haute-Tarentaise doit grandir
parcimonieusement, avec des projets de qualité par quartier en alliant les
logements neufs et les réhabilitations afin de garder l’harmonie d’un
esprit et ouvrir la ville par une répartition territoriale équilibrée.
« N’est il pas inepte de créer...disons le, une cité ? » dira un
sage en la matière.
Un vent de méfiance, de
défiance soufflait dans la salle
« Que
veut-on nous cacher ? Que se passe t il dans les coulisses de
l’exploit ? » « Pourquoi cette frénésie et précipitations
municipales ? » « De 800 logements on passe à 400 afin que la
couleuvre se faufile, dans cette zone inondable et inondée en 1996 ? »
De quel droit l’usager doit il être privé du dialogue, d’une rencontre ? « Que
cache t il donc ce maire pour ne pas vouloir communiquer ? »
Force
doit rester à la Loi
Puisque
le dialogue n’est pas possible, alors la soixantaine de personnes ont ainsi
décidé de mettre en œuvre cette marche en avant, afin que le droit soit respecté. Dés lundi une
équipe se met en place afin d’élaborer
une stratégie, ainsi, que soient respectés
les droits et les devoirs de chacun.
Pierre
VILLENEUVE