vendredi 5 janvier 2024

QUAND LE FRANCOPROVENCAL...REFAIT SURFACE ! merci à ce lecteur de notre blog)

" J'apprécie au plus haut point votre décision de virer les anglicismes de
votre blog  et vous félicite pour cela .

Je suis trop souvent irrité par l'annonce des animations LOCALES  avec
des noms angliches , qui  ne donnent pas ( ne serait-ce qu'en petite
écriture ) de l'équivalent en français ou arpitan .

Longue vie à votre blog "

 

* la suite de boun an  est  : " é la raf à to l'an "

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Je viens de voir sur fâche bouc  cet article qui corrobore la place des
langues locales (et ancestrales )

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La lingua piemontese era la “lingua franca”di tutte le valli piemontesi
ed anche, in qualche misura delle valli savoiarde e valdostane. Era la
lingua parlata nella capitale, Torino. Ancora oggi gli abitanti della
Haute Maurienne frequentano i mercati di Susa, di Bussoleno ed anche di
Porta Palazzo (hanno addirittura dei pullman che settimanalmente vengono
a Torino per questo). Del resto Torino è la grande città più vicina…. Li
ho uditi spesso lamentarsi che a Torino non tutti…

 
En voir plus

    La langue Piémont était la «lingua franca» de toutes les vallées du
    Piémont et aussi, dans une certaine mesure, des vallées Savoie et
    Valdosta. C'était la langue parlée dans la capitale, Turin.
    Aujourd'hui encore les habitants de la haute Maurienne se rendent
    sur les marchés de Susa, Bussoleno et même Porta Palazzo (ils ont
    même des bus qui viennent à Turin chaque semaine pour ça). Turin est
    la grande ville la plus proche après tout.... Je les ai souvent
    entendus se plaindre qu'à Turin tout le monde ne parle plus
    piémontais. Ils ont aussi un terme pour français, piémont et argot
    italien : ils disent "parlé paci òc"... Cinquante ans plus tard, je
    me souviens encore de la conversation que j'ai eue dans Averole, m
    2000, borgata di Bessans, avec Auguste Personnaz alias Gustinèt, le
    père de Celestin qui est toujours heureux en vie. La conversation,
    sur le fait de quitter sa maison, a commencé en français.... Quand
    je lui ai dit que j'étais de Turin il est passé au Piémont et quand
    je lui ai dis que je venais de Balme, on a continué en patois.......
    bons moments. A Bessans je peux encore parler en patois avec Félix
    Personnaz promotion 1925, qui connaît très bien Balme à cause de son
    histoire de partisan et... marchand.
    (de "Entre Piémont et Savoie")


· ·et la photo qui illustre l'article