Une excursion Valdôtaine : Le col du Grand-Saint-Bernard, anciennement appelé...
col du Mont-Joux, mais aussi,
en valdôtain ( Col du gran Sèn Bernard )
et encore, en töischu (Dan Gruassen Beerg)
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Avec cet esprit permanent d'aller à la découverte, sinon de revenir sur la terre de leurs ancêtres, Jack Jumel, avait pris son bâton de pèlerin, sous le vocable " valdôtaine nous voilà ! et de partir pour l'excursion au Col du
grand saint-bernard. Ainsi il fallait se laisser bercer à 2.469 m d'altitude, au zénith de ce col de montagne des Alpes pennines, en Valais sur la commune de Bourg-Saint-Pierre en Suisse.
LES PÈLERINS VALDÔTAINS N ONT PAS PEUR DES ORAGES...
...POURVU QUE LA TABLE SOIT MISE !
Le programme allait donc se dérouler au rythme des rencontres et des visites.
Un choix très grand était offert :
Visite de
l’hospice mais aussi du musée des chiens, et de terminer en l’église du Col du Grand Saint Bernard avec l’office religieux
L'orage grondait et les éclairs, versaient à souhaits de bien belles gouttes et de rafraichir les idées.
Le mot restaurant chantait dans les gorges de nos pélerins hardis. Jack ayant tout prévu, sauf l'orage, invitait tout le monde à le suivre avec comme destination : Restaurant papa grand à Variney. Le déluge avait changé de
plats allant, tel une ronde infernale, valser autour des tables et dans les assiettes. une cuisine soignée allait envahir les convives dans la salle avec une ambiance très...valdôtaine .
Il
Mais enfin, il fallait quitter le Grand Saint Bernard et retrouver le "Petit" et de retrouver ces lacets réconfortants, bien familiers avec un arrêt dans la soirée... à SEEZPierre VILLENEUVE
(
merci à Jack Jumel pour la parfaite organisation de cette visite très sentimentale sur ces lieux situés à la frange de la France et de l'Italie mais aussi de la Suisse...Merci aussi à lui pour avoir permis la rédaction de cet article et de ses photos.) Le col du Mont-Joux, lieu de passage privilégié des commerçants et des pèlerins, était le lieu de nombreux brigandages. Au XIe siècle, saint Bernard de Menthon,
qui eut pitié des malheureux qui y mouraient régulièrement, obtint de
l'évêque d'Aoste qu'une expédition délivre le lieu des brigands et que
l'hospice
détruit soit reconstruit (en l'an 968) pour héberger et secourir les
voyageurs. C'est ainsi qu'en reconnaissance le col prit par la suite le
nom de son bienfaiteur. L'hospice fut ensuite placé sous la juridiction de l'évêque de Sion, préfet et comte du Valais.
Cette particularité explique le fait que l'intégralité du col se situe
aujourd'hui en territoire suisse.À la
Dans salle du trésor sont exposés les plus beaux objets sacrés appartenant à la congrégation du Grand-Saint-Bernard.L’Hospice du Grand-Saint-Bernard a été fondé en 1050 par Saint-Bernard
d’Aoste afin d’héberger et de secourir les voyageurs arpentant le col du
Grand-Saint-Bernard.
Depuis, l’Hospice a maintenu un accueil
ininterrompu jusqu’à nos jours. À l’heure actuelle, 4 chanoines et une
oblate résident en ce lieu chargé d’histoire.
L’église de l’Hospice est la plus haute d’Europe. La première église
date du XIIIᵉ siècle. En 1686, elle est rénovée sous sa forme actuelle.
Sa visite est gratuite. Vous pouvez partager la prière de la communauté.
