mardi 12 novembre 2024

HAUTEVILLE-GONDON - COMMEMORATION DU 11 NOVEMBRE - " LES ENFANTS DE LA PATRIE ETAIENT BIEN LA !"



CEREMONIE COMMEMORATIVE DU 11 NOVEMBRE DE LA GRANDE GUERRE 1914/1918 –

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       HAUTEVILLE-GONDON …HAUT LIEU DES SACRIFICES

En cette journée d’hommage à l’ensemble des «  MORTS POUR LA FRANCE » Guillaume DESRUES, Maire de Bourg saint Maurice, avait tenu à donner du lustre à cette cérémonie. L’ensemble des services avaient aussi tenu à veiller à cette organisation ayant obtenu une bien belle réussite.

Ainsi c’est en présence du Mr Le Député, de la Conseillère Départementale, de Mesdames et messieurs les élus, du capitaine Liardet, chef du Corps du 13° BCA représentant le Colonel Lespinasse, du PGHM et de la Gendarmerie Nationale, de la Police Municipale,  du Capitaine du Corps des Sapeurs Pompiers LE Capitaine Romain LAPLACE, de Didier Jouniaux Président des Anciens Combattants , ses membres et adhérents et les porte-drapeaux, , de l’Echo du saint Bernard, du groupe Les Frontières, de la population et des enfants des écoles, de la Chorale du Village ( avec un clin d’œil à Luce !) que s’est donc déroulée cette cérémonie.

Guillaume DESRUES, Maire su donner toute la puissance à ses mots de rappel et de recueillement, et Didier Jouniaux, par la pensée, de remettre sa blouse grise et d’accompagner les enfants à la lecture des textes.

                   LES ENFANTS DE LA PATRIE ETAIENT Là !

Assurément la froidure n’a eu aucun effet sur le déroulement de cette cérémonie bien émouvante, une fois de plus une fois encore avec comme réconfort, les petites mains et les yeux grands ouverts des enfants de «  l’école du village ». L’ensemble des habitants s’est donc réuni afin de mettre en œuvre cet esprit d’être ensemble. Romain et Philippe, ont su donner toutes les valeurs, au mot éducation, de mémoire et d’histoire, tout en éveillant «  ces enfants de la Patrie ».

Ces gorges pures dans le chant et la lecture ont sublimé ce : « rester grouper » A l’heure de, déjà nous quitter, les cuivres ont acceptés ces gestes, ces lèvres de nos enfants posés sur les embouchures et de nous « scotcher » dans un moment où cette bise est venue se promener sur nos paupières. 

Mais à Hauteville-Gondon, on ne se quitte pas sans quelques friandises, préparées localement,  sinon de lever le verre de cette amitié indéfectible.

Pierre VILLENEUVE