LES INEDITS RECITS DE CELESTIN FREPPAZ - VOUS TROUVEREZ, DE TEMPS EN TEMPS, DES TEXTES DE CE MAIRE VISIONNAIRE !

 

A LA DÉCOUVERTE DES TEXTES INEDITS

               DE CÉLESTIN FREPPAZ –

              «  Baillié d’èpyngliè »

              - donner des épingles -

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Les femmes qui portent la «  frontières » ont besoin d’épingles pour se coiffer : épingles aujourd’hui à tête noire, autrefois à tête de métal  ou de verroterie, qui coûtaient fort cher. Lorsqu’un marché se concluait, il était de règle de solliciter de l’acheteur un petit cadeau supplémentaire pour l’épouse, sous forme d’épingles, ou d’une somme permettant de lui offrir ce cadeau. La tradition s’est maintenue et la petite gratification  qui vient s’ajouter au prix convenu s’appelle toujours :

                                 «  les épingles ».

 

                  «  Porta na fricacha » 

- porter une fricassée –

Quand un ménage a tué le porc, il est de tradition que l’on apporte aux indigents de son village un plat garni de boudins, de lard, et de graisse. . On dit que l’on porte «  la fricassée ».Le même présent est fait quelquefois à des parents, à des amis, mais c’est généralement alors à charge revanche..

 

                             MAIS ENCORE ….

                «  Mizé è sè gratâ y a qu’a sè djy boutâ » 

 

                Traduction : « L’appétit vient en mangeant. » 

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"A bientôt pour d’autres pages de ces textes inédits de Célestin Freppaz, Maire et Conseiller Général de Séez…Un écrivain, visionnaire, historien et d’un humanisme hors du commun."

Pierre VILLENEUVE