BOUCHERIE CHARCUTERIE-TRAITEUR – Julien GODREAU - ENTREZ… ET PÉNÉTREZ DANS UN ESPACE DÉDIÉ AU TROIS COULEURS DE FRANCE ! ******************************************************************
A l’heure de voir les consommatrices et consommateurs de s’aventurer dans le dédale des produits nécessaires à la nourriture, à l’instant de se poser la question qu’il devient ultime d’y voir clair au-delà des emballages écrits pas seulement dans la langue de Molière, à l’heure où il faudrait acheter un décodeur pour comprendre la fabuleuse et illisible mode d’emploi et la composition des produits enserrés dans le vide le plus absolu, Julien a donc choisi de s’adresser à nos papilles à notre sens du goût, « droit dans les yeux » Ici vous ne trouverez que des produits de la ferme.
Sur l’étal j’ai rencontré des parthenaises et des limousines
Tiré des terres vendéennes et plus précisément de Venansault, prés de la Roche/Yon, Julien a eu cette sagesse, d’aller à la rencontre des producteurs locaux de la cité boraine, mais aussi des éleveurs du côté de La Bresse pour les volailles, de Dossard pour le porc, mais aussi des veaux et agneaux de l’avant pays savoyard, même en Haute-Tarentaise. Je viens de terminer les viandes de Sionnac en Corrèze et ce matin la bête sur mes étals est de Saint-Augustin, aussi de cette Corrèze produisant, l’excellence et la tendreté, dans le calme des prairies vallonnées parsemées de belles forêts, des bêtes d’une qualité tirée de ce fleuron « nées et élevées en France, dans ce Limousin de traditions ! »
Enfant du pays vendéen, mais assurément savoyard !
La diversité doit être à la portée de toutes les saveurs. Si je propose de la qualité uniquement sur le label « terres de France » comme les parthenaises , parfois vous pouvez demander de l’agneau basque, le label va aussi vers les salaisons Mont Charvin de Doussard, et ce matin, des agneaux « Arpin ». De l’étal au client, je me déplace, je vérifie, je compare, je goûte, je sens, je regarde le mode d’élevage, la nourriture. Dés que le produit est sur mon étal, il garde son authenticité..La parole est au client !
Pour les plats cuisinés ? Aucun problème, c’est moi qui les prépare, avec des ingrédients que j’ai choisis. Ici pas de faux semblant. J’assume la qualité de la préparation. « Gratin dauphinois, blanquette de veau, paupiettes de veau, tête de veau, foie gras… » Pour le rayon vins je ne propose que ce que je connais.
Un dernier mot ?
Oui, au-delà du parcours que j’ai effectué en Haute-Tarentaise et la confiance accordée par bon nombre de professionnels, je dois saluer Alain Fradin, boucher à Saint Brevin Les Pins dans le 44. Il se reconnaîtra certes, c’est lui qui m’a appris les couleurs de cette France, fleuron de notre savoir faire et de notre qualité hautement respectée. La France a un goût comme nulle part ailleurs !
Pierre VILLENEUVE
