Un mot qui fait frémir.
C’est dans la ville du même nom en Ukraine qu’est construite la plus grande centrale nucléaire d’Europe.
Occupée par les russes, cette centrale est l’objet de bombardements, avec le risque qu’elle soit atteinte par une bombe qui la fasse exploser, déclenchant un cataclysme que tout le monde redoute.
On se souvient de la catastrophe de la centrale nucléaire de Tchernobyl en 1986. On sait que le nuage radioactif mortel n’a pas de frontière.
Zaporijjia est comme une épée de Damoclès au-dessus de la tête des ukrainiens, mais aussi des pays limitrophes. La France n’est pas loin.
On espère que la visite des experts de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) et la sagesse des belligérants russes et ukrainiens permettront d’éviter le pire. On le sait : à vouloir trop jouer avec le feu, on finit par s’y brûler
A nous tous, il revient d’encourager, de soutenir les mouvements pacifistes, les artisans de paix et d’unir nos prières si nous sommes croyants, pour que la sagesse l’emporte.