Alors
que les éléments de dame nature se déchainent, alors que la chapelle de la
Trinité, située au croisement de la rue de la Bourgeat et de l’avenue
Borrel, est entièrement encerclée par les chutes de neige, une des
deux fenêtres à anse, côté rue, s’est
soudainement éclairée.
La
lumière avait quasiment disparu de cette remarque chapelle construite avant
1622 en 1764, à la suite d’une inondation mémorable, elle a été reconstruite au
pied de la montagne actuelle en 1778.
La représentation de la Trinité est
un triangle équilatéral
Cette
chapelle, richement dotée, s’est, au fil des temps, vidée de tous ses attributs
dont certains font toujours l’objet d’un avis de recherche. Les habitants de la
Bourgeat très attachés à leur chapelle mais aussi l’association,
« Tradition et patrimoine borains » se sont ligués afin de redonner
du lustre au mystère de Dieu Amour : Un seul Dieu en 3 personnes : le
Père, le fils et le Saint – Esprit. Mots que prononcent les chrétiens à l’heure
de faire le signe de la croix.
Désormais
ce « bâtiment » a été confié à l’association « Tradition et
Patrimoine Borains ». D’importants travaux de mise en conformité ont pu
être réalisés.
Que la lumière soit...
Et
la lumière fut !
Ainsi
depuis l’avènement des fêtes de Noël vous pourrez apercevoir une bien belle lumière,
discrète certes, mais sincère brillant de tous ses éclats à la nuit tombée. Une
nouvelle âme habite cette chapelle pour le plus grand bonheur des riverains et
de l’Association.
Pierre
VILLENEUVE