Je me permets de venir vers vous au sujet de vos articles concernant la piste cyclable en Haute Tarentaise.
Cycliste assidu, j’essaie de fréquenter des endroits où je suis à l’abri d’automobilistes furieux. Cette piste « cyclable » est en effet partie d’un bon sentiment mais reste difficile pour quelqu’un qui veut faire une « ballade ». Oui il y a des imperfections qui pour certaines sont rattrapables. Par exemple pour les débordements de l’Arbonne. Certes cela aurait coûté moins cher si on l’avait fait de suite…
Mais que dire de :
1. « Mur » avant le tunnel parallèle du Siaix côté Centron :
2. L’obligation d’emprunter la N90 après St Marcel direction Moutiers:
3. L’obligation d’emprunter la N90 après Moutiers et Centron direction Aime: (même si on peut passer dans Pomblières pour ceux qui connaissent)
4. Les algues qui se développent à environ 1 km du départ d’Aime par suite d’un déferlement permanent d’eau non canalisée sur la piste
5. Les racines des arbres qui soulèvent le revêtement qui sont invisibles et surprennent à l’ombre :
6. Le bosselage de cette nouvelle piste à Bourg aux environs de la montée après le pont SNCF et à proximité des jardins par suite d’un passage d’une chenillette:
7. Gravillonnage de la sortie Est vers SEEZ :
J’ignore
où sont prises les photos au lieu-dit les Combes, je ne suis jamais
passé par là. Je n’ai qu’emprunté la partie qui longe la route au Sud de
la zone artisanale de SEEZ. Il est bien entendu
que
nous sommes en pays de montagne et que le relief est ce qu’il est. Néanmoins, dans les parties très pentues un virage supplémentaire aurait certainement permis un accès plus facile aux moins sportifs et aussi aux familles / touristes.
Dans tous les cas, merci à vos reportages.