lundi 4 août 2025

LA TERRE, à HAUTEVILLE GONDON, MERITAIT UNE FÊTE POUR SON 77° ANNIVERSAIRE -

 

 

 

 

 

 

Dans le cadre du 77° anniversaire de la Fête de LA TERRE à HAUTEVILLE-GONDON La Chorale du VALGRISENCHE, de nos amis italiennes et italiens, voisins de toujours,  a chanté à la messe, mais aussi s'est produite place du village, et nous offrir un  concert de l’après-midi. L'enchantement a été de mise, et ces cordes vocales se sont envolées sous  ces cieux éternels "Tavelais" grâce au regard spirituel bienveillant de Saint Martin de Tours.( photo ci dessus Jacques Plassiard)

            LA MESSE, SOUS CES VOUTES BAROQUES POUVAIT ÊTRE CELEBREE

Jacques Plassiard, prêtre, après de nombreuses rencontres, sur la place du village, alors que les cloches tintinnabulaient, et d'annoncer la messe, accomplissait ce rôle essentiel d'écouter, de converser, de comprendre, d'aider par des paroles bienveillantes, celles et ceux ayant cette soif intarissable de donner à la parole tout son sens. 

                    UNE EGLISE COMBLE SOUS LES ORS D 'HAUTEVILLE-GONDON

Le temps s'est quelque peu arrêté à l'heure de s'assoir à la table de la communion de toutes et de tous. Un moment fort de cet intime rassemblement, là où les différences se sont soudainement envolées. Avec ferveur Jacques Plassiard a su nous rappeler le temps d'avant dans ce présent incertain. La chorale du pays de Dante, VALGRISENCHE, a su nous rappeler cette union sacrée par des chants allant jusqu'à nous émouvoir.

                  LES GENS de LA HAUT ...

                                         CES TAVELAIS...DÉTIENNENT DONC LA CULTURE LOCALE 

Chacune et chacun avec souvent l'insouciance normale des enfants, ont pu déambuler sur la place du village en attendant de se retrouver autour de ces tables " comme avant". La modestie a effacé le faste, le temps était de s'assoir auprès de celle ou celui que l'on ne connait pas. Au diable ! " pardon" les fringues et le "bon chic,bon genre". les conversations pouvaient s'échanger,quelques mots patois s'envolaient, le barbecue s'impatientait... A TABLE !









 

Pierre VILLENEUVE