dimanche 10 novembre 2024

DANS LA SERIE - VENIR HABITER DANS LA VALLEE !

 

" Pourquoi ai je fait le choix de m'installer dans la vallée?

Originaire de la Seine & Marne, mariée à un officier de chasseur alpin d’origine Vosgienne, nous avions écumé la plus-part des garnisons de chasseurs alpins pour au final être muté au 7éme BCA à l’été 1986. Un confrère connu lors d’une précédente garnison, déjà en poste à BSM, nous accueille et nous introduit dans leur cercle de connaissances boraine. Ça match !! – Chose rare, Les officiers restant si peu de temps dans une même garnison, eux & leur famille ont la fâcheuse habitude de vivre entre eux.

2 années merveilleuses d’amitié, de ski, de balades, de sorties sportives ou non.

Par le plus grand des hasards, nous découvrons même que de par sa grand-mère maternelle mon mari a des origines Vulmixoises et Chapelaines.

 

1989, nouvelle mutation pour la Champagne. Quelle horreur !! Habitués au relief des montagnes enneigées, nous partons pour des paysages plats comme ma main laissant derrière nous des amis, des vrais - 1ère fois que je pleure en quittant une garnison.

Nous y reviendrons à chaque vacances. - 1993, lors d’un footing sur le chemin Vulmix- Montgirod, mon mari découvre un terrain à vendre. On l’achète sans projet bien défini.

Mais en 1995, nous nous lançons dans la construction de notre chalet.

- Et pourquoi pas ?? Au moins à l’avenir, l’attrait du ski, des randonnées, l’air pur feront revenir les enfants partis (et petits enfants futurs) aux vacances.

 - En attendant, les enfants, supportant assez mal nos déménagements perpétuels, je laisse mon mari rejoindre ses mutations durant 8 ans et faire les trajets tous les week-end (Oh la vilaine !!) – Et pourtant … quels week-ends de vraie détente et de qualité de vie !! – Puis la retraite. Le bénévolat pour moi, le ski, vélo, randos pour mon époux avec toujours le cercle des amis.

Aujourd’hui, nous avons quitté notre chalet devenu trop grand, pour nous installer à BSM, près des commodités utiles à l’âge. Et les amis (les vrais) sont toujours là. 

 

...Merci Agnès !