« Quand l’Espérance tombe en miettes, il reste toujours des miettes d’Espérance »
Dans la guerre au Moyen-Orient, où sont les miettes d’espérance ? A en croire les médias, Il est difficile de les repérer. La foi en Dieu pour les croyants ou la foi en l’homme pour les humanistes, nous incite à croire qu’il y en a et à ne pas désespérer.
En Israël, des juifs et des arabes, bien que minoritaires, manifestent ensemble pour l’arrêt des bombardements et pour la coexistence pacifique. Dans la discrétion, des responsables politiques cherchent à se rencontrer et à tracer des chemins de paix entre belligérants. Avec le pape François, des responsables religieux lancent des appels à la fin des bombardements et à la paix. Beaucoup de croyants prient à cette intention. Il est bon de se souvenir que des initiatives positives ont été prises pour favoriser et développer cette fraternité à construire et à consolider entre les peuples au Moyen-Orient et dans le monde.
A titre d’exemples :
Le « West Eastern Divan Orchestra » où Le chef d’orchestre est israélien. Le professeur et critique littéraire est d’origine palestinienne. Il regroupe des musiciens israéliens et arabes. C’est Platon qui disait que la musique adoucit les mœurs.
Un village de paix : Neve Shalom. (Oasis de Paix)
Ce village existe en Israël. A mi-chemin entre Jérusalem et Tel Aviv-Jaffa. Composé de juifs et d’arabes (musulmans et chrétiens), Il a été rêvé puis fondé par le père Bruno Hussar en 1966. Il est organisé en une commune où le maire est une année juif, ensuite chrétien, puis musulman. A l’école, les enfants apprennent l’hébreu et l’arabe. Une salle sert de lieu de culte. Le vendredi, pour les musulmans, le samedi pour les juifs et le dimanche pour les chrétiens. Ce village accueille des groupes pour des séminaires sur la paix.