lundi 12 juin 2017

QUAND LA ROUTE DE MALGOVERT DEVIENT UNE AUTOROUTE DES POLLUTIONS !

LA ROUTE DE MALGOVERT…UNE VOIE OUVERTE A TOUS LES EXCÈS…








MÊME  DE VITESSE

                      Colère des riverains au bord de l’Autoroute de Malgovert
Par arrêté municipal en date du 2 mai 2017, Jean-Luc Penna, pris en sa qualité de Maire de Séez investi donc des Pouvoirs de Police  (articles L 2211-11, L 2212-1, L 2213-1 et suite,)  avait dans son article 17 page 6 décidé  «  La circulation des poids lourds de plus de 7,5 T est autorisé sur les routes…– Route de malgovert  ( de la route des arcs à l’intersection avec la rue des Combes) tout en précisant «  LA CIRCULATION DES VÉHICULES DE + DE 7,5 T SUR LE RESTE DU TERRITOIRE COMMUNAL Y EST INTERDITE DONC SUR LA ROUTE DE MALGOVERT à partir de la rue des Combes dans le sens montant !.
Ces panneaux commandés de longue date n’ont jamais été posés soit 1 mois ½ après la signature de l’arrêté....POURQUOI ?
Pourquoi ne pas avoir occulté, durant les travaux,  le panneau sens interdit posé au droit de la rue des anémones et de la rue des contamines ?
                               DYSFONCTIONNEMENT ?
Par arrêté municipal en date du 9 juin 2017, Jean-Luc Penna, pris en sa qualité de Maire écrit, à l’article  1° alinéa 2, que les poids lourds peuvent du 12 au 30 juin 2017, eu égard aux travaux sur cette portion de la route de Malgovert, être autorisé à circuler   AU DELÀ DE 7,5 T …Alors que visuellement et physiquement AUCUN PANNEAU n’avait été installé.
Dans l’arrêté cité ci-dessus, sur proposition de Mme La Secrétaire Générale ?, pourquoi les Poids Lourds circulant à SEEZ vers Bourg Saint Maurice ne sont ils pas obligés de prendre la RN 90 ouverte à la circulation en sens unique vers Bourg Saint Maurice ? Pourquoi obliger donc les poids lourds à se croiser sur la route de Malgovert, doublant le trafic et les dangers imminents ?
Pourquoi l’arrêté municipal ne fait pas référence à l’arrêté du Président du Conseil Départemental ?
Pourquoi ne pas installer des ralentisseurs afin de permettre le partage de la route entre les véhicules et les usagers riverains ?
Assurément il a manqué de réflexion dans la précipitation.
Faut il qu’un accident survienne pour agiter  le «  si j’avais su ? »
                       D’AUTRES SOLUTIONS EXISTAIENT !
La commune pouvait également prévoir le contournement par la zone artisanale et ainsi donner une vision de la vitrine des entreprises locales. Pourquoi polluer un quartier résidentiel  et le transformer en AUTOROUTE DES POLLUTIONS, avec bruits, poussières, pollution, CO2, danger pour les arrêts des dessertes locales et scolaires, obligeant les riverains à rester chez eux face aux excès de vitesse non mesurés au delà de 50 KM/H.

Pierre VILLENEUVE