ÉCOLE PRIMAIRE DU CENTRE
« Les parents décollent du centre ? Une bien belle envolée ! »
Il était une fois des graines
Les parents d’élèves sont assurément t un terreau de toutes les idées ? Allons-y de tous les pousses ! Regroupez autour de l’association « les parents décollent du centre » il y a comme ça des énergies qui naissent au plus profond de la terre. Ces « sacrées mamans » ont dont décidé d’enfanter dans ces serres de toutes les poussées et de mettre en germe ces plants qui deviendront adultes, qui donneront de bien belles et succulentes tomates dans ce jardin d’Aladin.
Oui des plants à élever sur la Comète !
Ainsi ces parents d’élèves ont pris comme complice Dame Nature afin de tendre vers la création et l’innovation. Le but ? Garnir cette caisse des écoles afin de proposer aux enfants certes mais aussi pour proposer à l’équipe pédagogique des moyens afin de tendre vers le droit du savoir, de la découverte, de la curiosité à ce CENTRE qui tourne, à merveille, parfaitement rond.
Au-delà de l’étal, un lieu d’échange !
Samedi matin, à l’heure où le marché traditionnel s’éveille, les enfants avaient très tôt, frotté leurs yeux et de nous proposer au gré de la Grande Rue et la Rue Dessertaux, sinon prés de la rue Kennedy, leurs plants enserrés dans leurs mains fragiles, sous des yeux bien complices ! Les soleils matinaux ont eu raison de l’accueil que vous leur avez réservé ! Les plants se sont vendus, les mots se sont échangés, les pousses avaient ce goût de la réussite, les enfants étaient ainsi porteur d’un espoir, de cette graine devenue fruit de la passion.
Merci aux mamans qui ont tracé le sillon de vie ! Merci à elles aussi, pour ces deux mois de patience afin que les plants soient sur l’étal ! Merci à l’équipe pédagogique et aux deux professeures d’école ! Merci aussi aux usagers du marché de leur indulgence !
Moralité
Les enfants ont ainsi compris la puissance de la graine, la patience de la plante, le bonheur de ce fruit commun élevé à terme ! Il y a parfois des bonheurs simples...Il suffit d’un regard d’enfant absorbant nos douleurs !
Pierre VILLENEUVE
Ce texte a été écrit grâce à Johanne