mercredi 20 juin 2018

A LA RENCONTRE DES FONDEURS DE RETOUR DE MADERE !

VOUS PRENDREZ BIEN UN PEU DE MADÈRE...
                                                              AVEC LES FONDEURS !

Ainsi donc les fondeurs de Bourg Saint Maurice, nous ont fait faux bond, une fois de plus, une fois encore et comme dit la Présidente… »En septembre nous repartons 14 jours durant et d’aller découvrir la Chine ! » Mais pour l’heure il fallait bien défaire les valises tout en laissant quelque part s’échapper  des effluves d’Orchidées.
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L’archipel de Madère est une ile constituée d’une chaine montagneuse plongeant dans la mer, agrémenté de paysages sauvages, avec des cirques très profonds, là ou nichent des villages plus beaux les uns que les autres et de surcroit avec un accueil incomparable. A L’aéroport c’est un soleil radieux qui accueillait les fondeurs. Ils  avaient eu raison de quitter la grisaille boraine.
La visite de la capitale Funchal était de rigueur et surtout sa fameuse cathédrale. Pour se dégourdir les jambes rien de tel que le quartier ancien et son « mercado dos lavradores ».
  
Une promenade de santé dans les jardins « tropicale et botanique à Monté »
Une balade en « Carros de Cesto » s’impose sorte de traineaux en osier afin de franchir les dénivelés ! Les allées d’orchidées donnaient des parfums exotiques tout en admirant, entre deux points de vue, les Picos et do Ariero. Plus loin Porto Moniz faisait admirer ses piscines naturelles creusées dans les rochers de basalte noir.      
                                       Mais où sont-ils les fondeurs ?
Tout simplement embarqués dans le "Santa Maria", réplique de la caravelle de Christophe Collomb, les fondeurs allaient donc voguer en mer 3 heures durant. De retour il fallait une petite randonnée pour découvrir une levada (canaux d’irrigation) destinés à irriguer les terres agricoles, sinon d’emprunter  les rues pavées  de Santana. Mais les fondeurs ont du mollet et de la résistance, en mode dahu, « donc à Madère il faut monter et descendre, comme à Hauteville-Gondon ». Mais déjà, sur le chemin du retour, la conversation allait vers le prochain voyage.

Pierre VILLENEUVE