KENZA ? CETTE JEUNESSE QUI NOUS POUSSE !
Quitter, à l’heure de la fin de la 1° année, l’amphithéâtre de la Fac de Droit de Grenoble, c’est aussi, avec cette vocation d’espérer devenir Juge d’Instruction, est pour Kenza, une bien belle façon de garder le pied à l’étrier de la vie, tout en cherchant à découvrir le monde du travail tout en se nourrissant des savoir faire des autres.
Ainsi en déposant, seule comme une grande, son CV auprès de diverses entreprises locales c’est à MGL, que Patricia, a tenu à la recevoir et ainsi la positionner face aux machines outils de ce bien bel établissement, situé à la zone artisanale des Colombiéres.
Kenza ? Enfant du Pays ! Enfant d’ Hauteville-Gondon !
Après une scolarité studieuse aussi bien à l’école maternelle et primaire du centre, un passage sans difficulté au Collège Saint Exupéry, elle obtient son BAC « S » au Lycée Ambroise Crozat à Moutiers. Il a fallu s’éloigner de ce nid cousu de ces cheveux d’anges et quitter ses parents Philippe et Sandrine, mais aussi son frère Tilio.
Ainsi va la vie de ces jeunes pousses qui nous poussent !
Haut de ses 19 ans, Kenza porte en elle une personnalité bien trempée. Elle a fait ses classes du côté de « La Cachette » avec un certain prof de gym en Ski Études : Thierry Blanc. Pour aiguiser son harmonie c’est avec Marie Claire Merel, qu’elle affinera, dans la danse, sa silhouette et donnera à son corps cette souplesse et cette précision du geste, de la prestance et de son regard.
Attentive à son poste de travail, c’est avec application et méthode qu’elle va accomplir ces devoirs de vacances, afin certainement d’avoir quelques pièces sonnantes et trébuchantes mais aussi afin de se faire une idée de ces techniques derrière ces machines de la perfection.
Kenza ? Une fille bien dans ses baskets
Ce soir, demain, toujours Kenza refait le monde avec ses copines Jenna, Louise et Inès, tout s’invente, se suscite au XIII, ce troquet de la rue de Notre Dame à Grenoble. Très famille elle évoque ses voyages avec ses parents quand Court Métrage tombe le rideau et que clap de fin sonne dans les aéroports de Miami ou d’ailleurs. Parfaitement bien dans sa peau elle évoque avec émotion Marcel et Nicole, d’ Hauteville-Gondon, mais aussi Jocelyne à Gien – 48 – ses grands parents. Perfectionniste, délicate et intransigeante quant au travail bien fait, si Kenza possède en elle cette performance autrement « C’est que, quelque part j’ai en moi des gênes de Nicole, ma grand mère ! »
Un sourire complice éclaire son regard. Ce soir elle écoutera du Gadelmaleh, rêvera sur des airs de « Giorgio », mais pour l’heure il fallait terminer son passage dans l’entreprise MGL avec comme point d’honneur : la Qualité du travail rendu !
Pierre VILLENEUVE