RENCONTRE INTERCULTURELLE ENTRE L' ASSOCIATION
« TRADITION & PATRIMOINE
BORAINS » ET LE VAL D ‘AOSTE ;
En ce 26 septembre 2018, ce ne sont pas moins de 49
personnes qui avaient décidé de visiter les monuments incontournables du Val
d’Aoste et ainsi de s’enrichir et donc se nourrir de nos voisins et amis
valdôtains.
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Après avoir franchi le col du Petit Saint Bernard, le
mystère de la découverte s’enveloppait d’une bien belle brume matinale. Un
arrêt à Morgex permettait au groupe d’être accompagné par la guide
Elisabetta ? bien connue pour être référencée une des meilleures.
Dés 9 h nous avions droit à une bien belle
présentation du château de Fenis, l’un des plus connus du Val d’Aoste. Ce
château initial daté de 1242, fût agrandi par la famille Challant aux XIVème et
XVème siècles et de devenir un château prototype de l’époque médiévale. Dés
l’approche, la perspective était explosive et riche en tours et tourelles le
tout entouré de murs crénelés du plus bel effet. Le temps de la visite
permettait à tout un chacun de parcourir, cours et passages couverts.
De Fenis
au Fort de Bard…
En passant
par un repas très escalope de veau en mode valdôtaine.
La visite pouvait continuer au Fort de Bard.
Forteresse du XIXème siècle construite par la maison de Savoie sur un
promontoire rocheux, là nous accueillait le Fort de Bard dans son Musée des Alpes sur un parcours
étonnant entre découverte, pluridisciplinaire, interactif et multimédia
consacré aux Alpes et à la montagne, comme un lien sinon un de mot de passe
intergénérationnel.
Ce n’est
qu’un au revoir nos voisins
Dés 18 h il fallait bien s’y résoudre et reprendre le
chemin du retour. Chacun bien calé allait souvent, parfois faire dormir les
yeux. La qualité et le confort de bus Loyet, l’excellence du savoir faire et
savoir être des chauffeurs Guillaume et Sylvain nous assurait un parcours confortable
pourtant sinueux. « Nous étions comme en vol ! » Les lacets
déroulaient la montée en altitude. La sérénité était à bord…sauf !!
« Nous n’avions pas vu le panneau, ni de la douane, ni FRANCE au sommet du col, pourtant nous avons
vite compris que venions de changer de pays et de route. Les poules avaient
fait leurs nids, le revêtement made in France, était bien bosselé, cahoteux,
pas ou mal entretenu" on doit avoir emprunté une piste, sinon la voie romaine !". Et si le Conseil Départemental de Savoie souhaite une
continuité avec les tapis d’enrobé valdôtain, il suffit d’aller se rendre
compte du savoir faire Italiano ! Les vessies devaient restées aux aguets !
Pierre VILLENEUVE
