TRADITION, PATRIMOINE, FRONTIÈRES...TROIS
MOTS, UNE PASSION…BORAINE !
Pourquoi ne pas avoir indiqué l'arbonne en franco-provençal ? |
Mais au fait...quelle
vitrine ?
Le socle de cette association, comme celle
du groupe folklorique LES FRONTIÈRES, ont le socle, les racines de la terre de
nos ancêtres. Ces femmes, ces hommes, ces enfants, ces petits enfants, ces
arrière-petits enfants, ces générations d’aujourd’hui devraient, à chaque jour,
recevoir une reconnaissance bien au-delà du virtuel.
Cette terre, cette culture, ces traditions,
ces gestes, cet esprit, ces métiers d’autrefois plus que jamais innovants, ces
savoir faire, ces savoir être, nous donnent une bien belle image de ce qu’est
la famille et son respect.
Dernièrement LES FRONTIÈRES ont brillé de leurs éclats, de
leurs costumes et de leur présence, au marché de Noël de Montbéliard, sans le
Jura. Dans un autre registre TRADITION & PATRIMOINE BORAINS, effectue un
travail, pardon une passion hors du commun, afin que perdure le patrimoine, les
traditions mais aussi cet extraordinaire richesse qu’est le patois local «
le franco-provençal » qu’hélas l’ Éducation Nationale ne reconnaît pas
comme une langue régionale officielle. Aussi sur ce registre, il nous
appartient à, toutes et à tous de ne pas baisser les bras ou plutôt de ne pas
fermer la richesse de son dictionnaire.
Ruisseaux, Torrents, lieux dits, gestes,langage
…RESPECT
En décidant de vivre au pays dans cette
belle vallée de Haute-Tarentaise, alors acceptez d’épouser le franco-provençal…. Comme
le font les gens de Provence, de Bretagne, du pays catalan, du pays
basque, de l’Alsace, des gens du Nord,
d’Occitanie, d’Auvergne…et d’ailleurs.
Un exemple en Région Occitanie-Méditerranée. |
Il existe dans certaines Académies de
l’ Éducation Nationale des classes dispensant
le patois local… Le temps n’est il pas venu d’interroger les futurs candidats aux
Municipales, afin ? qu’au-delà de leurs promesses, chacun puisse faire des
propositions, sous réserve de ne pas emprunter les arcanes ou la subtilité de
la langue… de bois !
Pierre VILLENEUVE